Actions nécessaires amenant à la guérison :
Le patient est responsable de lui-même par son libre arbitre à bien ou mal vivre ses leçons.
Par un bon vécu il peut passer l’épreuve, réussir son test et passer à la leçon suivante. S’il échoue, s’il bloque, il devra réviser sa leçon, et si l’apprentissage traîne trop, le désordre apparaîtra sous forme d’une maladie. A partir de ce moment-là, il est responsable de la gravité de cette maladie qui peut diminuer ou stopper en fonction des prises de conscience. Il est également responsable par le choix de la thérapie qui se fera suivant le développement de son intuition.
Les thérapeutes proposent mais le malade doit toujours garder la possibilité de choisir et décider, selon ce qu’il ressent, d’où l’intérêt de développer cette qualité d’intuition chez le malade, à défaut de connaissances médicales suffisantes. Il doit apprendre à écouter la voix de la sagesse.
Il appartient aussi au malade de vouloir réellement et consciemment faire les efforts nécessaires sur sa conscience et dans ses corps pour se rétablir dans sa santé. Guérir exige des efforts à tous les niveaux.
Voulons-nous réellement le faire ou cherchons-nous à nous faire dorloter, cajoler, plaindre, nous faire porter par les autres ?
Combien de malades croient vouloir guérir dans leur conscience de veille, mais refusent de faire les efforts spirituels sur d’autres plans de conscience ?
La meilleure médecine est le travail sur soi, car tout revient à notre Etat d’Etre.
Quels sont nos défauts, quel travail devons-nous accomplir pour les diminuer, les supprimer, que devons-nous comprendre dans ce que nous vivons, quel est notre degré d’acceptation, etc.?
Nous constatons que la maladie, qui n’est qu’une conséquence, régressera en fonction de nos efforts, de nos progrès.
Serge Nazare